mon histoire

Autre
Noemie Mercis reçus : 1
le 1/10/17
Bonjour , j'ai était victime d harcèlement toutes mes années scolaires j'en souffre encore (je suis plus a l école) j'ai jamais d'amis suite a mes timidité et aujourd'hui j'en souffre d'avoir personne a qui me confier je me sens seule même des fois même souvent je pense que je devrai pas vivre

Ma réaction : 😯 1😔 😠 👏

Réponses (7)
Anonyme
le 1/10/17
3
Bonjour à toi Noémie, j'espère qu'écrire ici t'aura fait un peu de bien. 

On ne peut malheureusement plus guérir ton passé, et tu auras toujours de la méfiance, je suppose, envers les gens à cause de lui. Pour ta timidité, il faut savoir d'où elle vient, et comment l'arranger. Ne t'en fais pas, tu en es capable, réellement. 

Donc, peut-être que tu es timide parce que tu as peur de déranger, tu te sens comme un intrus avec les autres. Tu n'as pas confiance en toi et c'est pour ça que tu te sens nulle par rapport aux autres. Jette ce sentiment. Tu n'es ni nulle, ni moins bien qu'eux.

Ce n'est pas facile de faire le premier pas. Pour autant, c'est peut-être le cas d'autres personnes autour de toi. Si personne n'ose avancer, alors les rencontres et les interactions disparaîtront. Tu peux attendre que quelqu'un ose s'approcher, comme tu peux souffler un coup, et te jeter dans cette aventure qu'est la sociabilité. 

Sans te mentir, tu auras tout de même cette appréhension, cette peur du rejet, peut-être que tu bégayeras à cause du stress, tu t'en sentiras honteuse et ça te gênera quand tu y repenseras. Mais tu te souviendras toujours que c'est toi qui y est allée. Et puis, les rencontres les plus drôles sont inattendues et parfois improbables ! 

La solitude peut nous amener à des pensées vraiment noires mais tu es largement au-dessus d'elle. Tu mérites de vivre, tu as ta place dans ce monde même si tu ne l'as pas encore trouvée. Souris, croise le regard des gens, demande-leur même juste l'heure. Tu ne peux pas sauter au-dessus du mur d'un coup pour passer outre ta timidité, mais tu peux escalader, à ton rythme, et à ton aise. 

« On n'apprend pas à faire du vélo sans tomber », ne regrette pas tes actions, et fais ce qui toi te mettra à l'aise. 


Jemiscor Mercis reçus : 1
le 2/10/17
1
Ça me ressemble, à Nice l'ambiance est similaire 
Noemie Mercis reçus : 1
le 2/10/17
1
Merci pour vos commentaires sa me fait plaisir
SwastiK Mercis reçus : 12
le 2/10/17
3
Tristesse,
C'est toujours plus facile de s'en prendre aux personnes les plus gentilles, de s'attaquer au physique, de pourrir la vie et de moquer les personnes qui ne sont pas dans la norme.
Et c'est tant mieux. Ne soit pas dans la norme, ne soit pas comme les autres, soit toi-même.
Aussi frustrant, blessant, difficile, fatiguant et putain, chiant, que ca ai pu être, au final, ca finis par te rentrer dans le crane le fait que t'es pas un mouton comme les autres.
Certes, y a le manque de confiance, la peur, les phobies voir même des traumatismes, qui vont avec.
Mais crois moi quand je te dis que tu n'es pas seule, ce n'est que temporaire, du moins, sauf si tu décides de te renfermer sur toi-même et mépriser le commun des mortels en apprenant a les identifier, définir leurs caractéristiques sans jamais avoir a leur parler, juste en observant mdrrrr
Certes, t'en as souffert, certes t'as passé toute ton adolescence et très probablement ton enfance a être le vilain petit canard que tout le monde chasse.
Profites-en de ça, cultive toi, ouvre ton esprit, remet tout en question, que ce soit les normes de la société autant que le mariage pour tous ou la depenalisation du cannabis.
Bref, soit différente, soit meilleure que les autres, soit toi-même.  
Oui, dixit le mec qui veut s'foutre une balle dans le crane toutes les millisecondes de son existence.
All my life, they told me money can't buy happiness, but money can buy a lot of drugs, at least enough to last me.
Noemie Mercis reçus : 1
le 3/10/17
Ce que je souffre le plus c'est le manque d écoute de la part de mes parents l harcèlement que j'ai vécu j'ai juste des cauchemars et je suis tombé de vélo en allant au travail et jai toujours peur des bus car c'est un bus qui ma renversé et j'en souffre d avoir personne a mes côtés
SwastiK Mercis reçus : 12
le 4/10/17
Bonsoir,

Je ne saurai pas comment te réconforter Noémie, tout ce que j'ai appris de toutes ces années et de mes troubles en découlant, c'est que chacun a sa façon de survivre et sur chacun, les solutions sont différentes.
Pour mon cas, j'ai appris a faire avec au point ou c'en est devenu ma zone de confort.
Mais ce n'est pas pour autant que je reste dans ma zone de confort, ce serai choisir la simplicité.
Je me force constamment a quitter ma zone de confort et cela pour le mieux. Je fais des choses a contrecœur parce que un mal pour un bien je suppose.
Mais ce n'est valable que pour moi et je dis bien, MOI.
Es-tu suivie par un(e) psychologue/psychiatre? 
Je connais des personnes avec qui les traitements et les rendez vous réguliers ont très bien marché.
Si ce n'est toujours pas le cas, je pense que ce serai la décision logique a suivre...
Du moins c'est tout ce dont je peux te conseiller, étant donné que je suis surtout pas l'exemple a suivre.

Bien a toi.
All my life, they told me money can't buy happiness, but money can buy a lot of drugs, at least enough to last me.
Kenjiro Mercis reçus : 1
le 5/10/17
Moi aussi ça m'est arrivé pas toute ma scolarité mais à partir du collège ça me tomber dessus fréquemment. Tout ça changé l'année de mes 17 ans. J'avais intégré un lycée ou personne ne me connaissait en internat et ça m'est retombé dessus. J'ai fini par comprendre que le problème venait de ma faiblesse et de mon inactivité. Je me suis mis aux arts martiaux ça a régler mes problèmes et m'à permis de transformer une expérience destructrice en un moteur pour m'améliorer.

J'ai la vingtaine aujourd'hui et fâchement je suis heureux d'être passé par ces moment à mes 17 ans.

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