On était le 16 novembre 2012, il été dans les environs de 15 heure, mon oncle m'appelle pour que je vienne l'aider a mettre la télévision dans la chambre de ma cousine et moi. Je monte le grenier se situe a coter de la chambre, je l'aide. D'un seul coup il me demande "tu dis tout a tes parents" je répond que "non" a l'époque je n'est plus aucun lien avec ma famille, plus aucun contact rien. Il me dit de passer dans le grenier que j'ai des plus petits doigts que lui et que j'aurais plus simple. J'y vais. Au bout de 10 minutes je comprends que a l'opposé dans la chambre il n'y a plus personne pour recevoir ce cordon, d'un seul coup je sent des mains ce poser sur mes vêtements, puis en dessous puis je me débat mais rien n'y fait je fait 40 kilos et lui 110. Je me débat je le pousse, je cri, personne ne réagit.
Il fini par partir je pense que le cauchemars et terminer mais non loin de la, il ferme la porte, ce déshabille, il est nu, il me regarde et me dit "T'aime sa salope, je sais que tu aimes! Touche salope" Je me débat encore une fois je le pousse de toute mes forces et la j'arrive a me dégager.
Je descend en courant et je pars m'enfermer dans les toilettes seule endroit ou il y a un verrou et la ou je suis sur qu'il ne pourra pas revenir me chercher.
D'un seul coup j'entend qu'il me rappel "Amélie, Amélie, Amélie reviens" je ne répond pas.
Ma cousine arrive devant les toilettes frappe et me demande de lui ouvrir, je n'ouvre pas durant quelques minutes puis je finit par lui ouvrir car de toute façon elle entends que je pleure.
Je ne sors pas un mot, mais très vite elle comprend. Elle monte, je ne sais pas ce quel lui dit mais, ils finissent par redescendent tout les deux et il me propose de l'argent contre mon silence. DE L'ARGENNNNNT alors qu'il viens de détruite ma vie!
Durant des années je n'en est jamais parler, tentatives de suicide, scarification, médicament, anorexie, boulémie, tout est venue me tenir compagnie jusqu'à ce qu'un jour je craque devant l'infirmière de mon collège car je ne suis qu'une adolescente et je comprends que plus les jours passent et plus je me détruit.
De la les procédure on commencer, gendarmerie, assistant sociale, gendarmerie, gendarmerie a l'hôpital, gynécologue, assistant social, gendarmerie, psychologue, gendarmerie.
Dans quelques jours nous arrivons au délai de prescription; et ce qui me fait peur ces que rien n'aboutit.
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